tombe
tombe oblique sur le visage qui un fil
laisse à la peau, dévoile le manteau
creuse les toits, force le vent
à la danse sur le fil quand elle monte descendant
constant en une mélodie
oblique
c’est pour cela, pour ce manteau
sans couture
qu’elle est un étonnement nocturne
en passant par les campanules
où les troncs se
déclinent
à la danse
qu’elle est l’expression la plus sublime
du dessein céleste
Rui Miguel Duarte
5/12/13
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